arrivée d'une directrice

Une belle voiture noire arriva et se gara devant l’entrée de la longue bâtisse.
La portière du conducteur s’ouvrit et il en sorti une jeune femme distinguée.
Elle était sorcière sans aucuns doutes et toutes les personnes ayant un tant soit peu de magie coulant dans leurs veines pouvait apercevoir le halos de lumière noire l’entourant.
Si elle avait pris la voiture comme les humains dénudés de pouvoirs, c’était simplement pour ne passe faire voir bizarrement par les voisins … Tout le monde aux alentours croyait qu’il s’agissait simplement d’un nouvel orphelinat qui devait ouvrir dans la journée …

Elle ferma donc les portières de sa superbe voiture et se dirigea vers la porte, s’arrêtant à deux mètres de la porte pour plonger sa main dans sa poche, d’où elle sorti un énorme trousseau de clefs.

Après en avoir sélectionnée une, elle ouvrit enfin la porte de l’immense demeure qui aux yeux de tous les sorciers serait maintenant la nouvelle école de magie de Bretagne.

Elle poussa la porte et rentra pour se retrouver dans un grand hall bien éclairé

« voici donc la maison qui a été choisi pour servir d’Académie … Ca peut aller … »

elle referma la porte derrière elle et attendit patiemment que son nouveau collègue de directeur arrive

Natanaël choisit pour sa part une arrivée la plus simple possible, dans le souci de ne pas intriguer les voisins. Il arriva donc à pied, vêtu d’un jean et d’une chemise bleue, chaussé d’une paire de basket et portant une petite valise à la main.
Il portait également une veste en jean bleu.
IL n’était pas le moins du monde essoufflé par le petit kilomètre qu’il venait de faire à pied, ayant transplané à la lisière d’une forêt toute proche.

Il sifflotait en marchant, heureux d’être enfin là.
Dès qu’il aperçut la magnifique voiture noire garée devant la porte, un sourire joyeux éclaira plus encore son visage.

Il n’avait jamais vu cette voiture auparavant, mais n’avait aucun doute sur sa propriétaire : ce ne pouvait être qu’ Abigaël.

Arrivé sur le seuil, il posa sa valise et commençait à se pencher pour y chercher ses clefs lorsqu’il aperçut la jeune femme qui était dans le hall et avait l’air d’attendre quelqu’un ou quelque chose.

* Elle a du laisser ouvert derrière elle* songea-t-il *Gagné !* se complimenta-t-il intérieurement en sentant la porte s'ouvrir facilement et silencieusement sous sa poussée.

Il rentra en lançant un clair et joyeux :

"Hello Mademoiselle ! C'est moi que tu attends ?" et s'avança vivement vers la jeune femme qui était devant lui.

Aby entendit un vague bruit de pas en direction de la bâtisse, mais le temps que son regard se porte sur la fenêtre, il n’y avait plus personne dans la rue

* tient, mon ouie m’aurait elle jouée un tour ?*

elle savait pourtant bien que cela était improbable : les sens de la jeune femme ne l’avais jamais trompées !
Et comme pour prouvée la véracité de ces dires, elle tourna la tête vers la porte, voyant celle ci effectuer un petit mouvement de rotation vers l’intérieur, sans bruit.

La porte s’ouvrit sur un jeune homme d’environ 25 ans, l’air épanouie et agréable, une personne qu’elle commençait à bien connaître, et ce, depuis maintenant deux ans.

Elle se tourna complètement vers lui, les bras croisé et le regard froid avant de lancer

« Natanaël … tu es en retard ! »

Puis elle entendit ce que lui dit le jeune homme et un sourire apparut sur son visage qui se métamorphosa littéralement et elle décroisa ses bras

"Hello Mademoiselle ! C'est moi que tu attends ?"

« Salut Nat ! Bien sur que c’est toi que j’attends, qui voulais tu que ce sois ? »

Puis voyant la valise qu’il portait, elle sembla se souvenir de quelque chose et murmura une phrase avant de se retrouver avec une petite valise à ses pieds

« Comment vas tu depuis notre dernière rencontre ? »

Sans lui laisser le temps de répondre, elle regarda autour d’elle d’une regard appréciateur

« en tout cas, je te félicite pour le choix de la maison d’accueil, elle est parfaite pour ce que nous comptons en faire ! »

"Si tu étais venue me chercher avec ta remarquable voiture, je serai arrivé en même temps que toi !" s'exclama-t-il en éclatant de rire en entendant la remarque de la jeune femme.

Puis, voyant son visage s'éclairer lorsqu'il s'adressa à elle, il s'approcha, la prit dans ses bras et se laissa envoûter par le parfum de ses cheveux le temps de lui faire la bise.

Il la lâcha et ajouta en souriant :

"Je ne sais pas moi, tu aurais pu attendre le prince charmand !"

Puis, il murmura une formule en regardant leurs deux valises qui disparurent aussitôt, et se tournant vers sa compagne :

"Elles nous attendent dans nos bureaux. Tu viens visiter ?" ajouta-til en avançant de quelques peu vers les autres pièces, se retournant pour la regarder, lui souriant avec les yeux.

"Si tu étais venue me chercher avec ta remarquable voiture, je serai arrivé en même temps que toi !"
la jeune femme rigola à la réplique de son compagnon

« et si tu m’avais contacté avant de disparaître comme un voleur, peut être que j’aurais pu venir te chercher ! »

quand elle s’y mettait, Aby était vraiment langue de vipère.

Elle lui fit la bise elle aussi, pestant tout bas contre ses cheveux bleus qu’elle avait dans la bouche encore une fois : vivement qu’il se les fasse raser !

"Je ne sais pas moi, tu aurais pu attendre le prince charmant !"

« et bien, cela apprendra à mon prince charmant à ne pas disparaître dans la nature sans en avertir sa princesse ! »

elle prit un air digne avant de retrouver son sourire quand il fit son « tour de magie »

« et c’est à ce moment là que je dois être impressionnée mon cher ? »

« Tu viens visiter ? »

elle fit semblant de réfléchir une seconde de plus que normal avant d’acquiescer et de lui prendre le bras

« très bien, fait moi visiter alors ! »

Il fut surpris par les paroles de la jeune femme, et lui répondit, lui laissant à peine le temps de finir de parler :

« Je suis très flatté que tu me considères comme ton prince charmant, mais je ne comprends pas en quoi j’ai disparu dans la nature… »

Il laissa passer quelques secondes puis ajouta d’un ton charmeur :
« Je ne cherchais pas à t’impressionner, mais à te débarrasser, ma chère »

[i] Tout en parlant, il posa sa main droite sur celle de sa compagne qui reposait sur son bras, et, se dirigeant vers la sortie du hall :

« Par quoi veux-tu commencer ? L’intérieur ou l’extérieur ? »

« Je suis très flatté que tu me considères comme ton prince charmant, mais je ne comprends pas en quoi j’ai disparu dans la nature… »

" Pour le prince charmant, c'était ironique Nat ! quand à la disparition, je ne sais pas comment on pourrais qualifier autrement ta "perte soudaine de contact avec ton entourage" !"

Puis elle se mit à rire au ton du jeune homme

" oh, monsieur prends sa voix de charmeur, aurait il quelque chose à se faire pardonner ?"

« Je ne cherchais pas à t’impressionner, mais à te débarrasser, ma chère »

elle répliqua de son ton ironique et moqueur

" comme c'est gentil ..."

Puis il revint sur la question de la visite: interieur ? extérieur ?

" et bien tant que nous y sommes: commençons par l'intérieur, nous sortirons plus tard !"

Nat lâcha la main de sa compagne et prit la direction de l’ « Espace Restauration », ne disant absolument rien, ruminant le ton ironique et moqueur qu’elle avait pris pour lui dire qu’il était gentil, et qui l’avait blessé.

*Et bien puisque Madame veut sa valise….*

La valise d’Abigaël fonça droit sur sa propriétaire à toute allure et s’arrêta à 3 millimètres de son visage, juste comme ils arrivaient devant la porte de l’Espace Restauration.

Pour tout commentaire, Natanaël, qui ne fut absolument pas surpris par cette apparition, dit en murmurant, sur un ton très calme :

« Il m’a semblé que tu y tenais, à cet engin, alors le voilà ! »

quand le jeune directeur lacha sa main, Aby compris qu'elle l'avias vexé et au moment où elle allais s'excuser, elle senti un objet foncer droit sur elle, le bloquant à la seconde près où il allais la percuter de plein fouet ... sa valise ...

Pour lui renvoyer sa valise à cette vitesse, Nat était vraiment mécontent et blessé de la remarque de sa collègue.

Abigaël refit disparaitre la valise dans son bureau

" excuse moi Natanaël, je ne voulais pas te vexer et je ne pensais pas que tu le prendrais mal, me connaissant !"

et bien, réflexion faite, il n'y avait aucuns doute: elle préfèrait vraiment quand son compagnon souriait ! Ca lui allais mieux que cet air calme mais blessé!

Puis, quelques instants plus tard, sa magie noire se mit à vibrer autour d'elle, comme recherchant une troisième présence magique qu'elle trouva d'ailleurs

" et bien je suis désolée Nat, mais je crois que tu me feras visiter plus tard: notre première élève ne va plus tarder et il serai dommage pour elle de se retrouver seule dès son arrivée !"

[ Si Nataniël est d'accord, vient nous rejoindre dans ce topic Automne !]

[Ok j'arrive ^^, t'es d'accord, hein Natanael?? ptdrr toutes manières t'as pas le choix Niakniak ^_^ Nan mais si tu veux pas, tu effacera mon mess, y'a pas de problème!!!]

Automne, fatiguée par son long voyage, était de mauvaise humeur.Son père, qu'elle n'avait pas revu depuis 6 mois, lui avait envoyé une lettre la veille de son départ pour l'académie en lui disant que c'était sa dernière chance pour se racheter.Se racheter de quoi?? Pensa Automne en lisant la lettre, elle n'avait absolument rien à se reprocher, mais évidement, comme toujours, il n'avait encore rien compris.Il n'avait pas compris que cette académie était un nouveau tournant dans sa vie vers l'indépendance et surtout vers sa passion.

Il était tôt ce matin, la voiture moldue, conduite par Ernest, le serviteur ou plutôt "l'homme à tout de faire" de la famille Dreaks, s'arrêta devant la grande demeure qui abritée la nouvelle académie de magie française.Automne, en sortant de la voiture, observa longuement la demeure, pendant qu'Ernest déchargea une seule valise du coffre.Automne ne voulait pas s'encombrer d'affaires, elle prit la dîte valise ainsi que sa guitare qu'elle mit dans son dos et dit aurevoir au vieil homme en lui donnant une petite tape amical preuve de son affection pour celui qui l'avait toujours soutenu.
Sa nouvelle vie commençait.....

Automne ouvrit la lourde porte et entra, ses bottes noirs et son blouson en cuir contrastait avec le style trés riche des lieux.La jeune fille ouvrit de grand yeux, c'était magnifique ici....

"C'est trop classe " dit-elle tout haut, ne pensant pas qu'il y avait quelqu'un d'autre qu'elle en ces lieux.

[hj : Mamzelle Aby pas inspirée ? ça m’étonne ! bien sûr que je suis d’accord, et vous le savez toutes las deux ! Je vois vraiment pas pourquoi je refuserai de faire un topic avec vous ! ^^ ]

Natanaël était en train de faire une bise à sa compagne pour lui faire comprendre qu’il acceptait ses excuses lorsqu’il perçu une nouvelle présence magique dans les lieux.

*Tiens, voici notre première élève, un adulte aurait une aura magique plus nette….*

« Je crois que nous serons trois, pour découvrir ces lieux…. » lui dit-il doucement.

Il retira son bras de la main d’Aby et prit la direction du hall d’entrée, où il arriva pour entendre la remarque de la jeune fille présente dans la pièce.

« Ravi que les lieux vous plaisent, et bienvenue à l’Académie ! » [i]lui répondit-il en souriant. Puis, tendant la main vers la valise de la jeune fille :[i]

« Permettez-vous que je vous débarrasse ?
Au fait, j’ai omis de me présenter : Natanaël Zélec, Directeur de l’Académie et votre Professeur de Magie Blanche.
Je m’apprêtais à faire visiter les lieux à Madame la Directrice, voulez-vous vous joindre à nous ? »

Aby fit un peit sourire en voyant que son ami n'était plus vexé, mais se dernier s'effaça aussitôt que la nouvelle venue eut franchit le seuil: elle serait intraitable et commençait dès maintenant à tenir son rôle de directrice

Elle suivit Natanaël vers la jeune fille qu'elle salua à son tour

" enchantée mademoiselle que ce lieu vous convienne! Je suis Melle Auregan, co- directrice de ce lieu avec le Mr que voila! Je serais égalment votre professeur de magie noir ! Bienvenue dans notre académie !"

elle leva les yeux au ciel lorsque Nat proposa à la jeune filel de la débarrasser: s'il était aussi poli et courtois avec tout le monde, il n'avais pas finit de porter des valises !

Bon, dans tout les cas, il faudrais qu'elle ai un rendez vous avec cette jeune fille pour complêter son dossier, mais en attendant, Nat avait l'air de tenir à sa visite: alors pour ne pas le vexer une seconde fois, Aby acquiessa

" d'accord ! Venez donc vous joindre à nous mademoiselle !"

Automne sursauta légèrement en entendant une voix dans son dos, elle tourna la tête et resta surprise en voyant un jeune homme tout bleu ( ) lui adresser la parole.
Elle eu un haussement de sourcils quand celui-ci se présenta.Il était le co-directeur de cette école, quel étrange directeur pensa desuite Automne.
Quand il proposa de la débarrasser de sa valise, la jeune fille hésita avant de lui passer, mais garda sa guitare dans le dos.Il lui proposait même de visiter les lieux, au moment où Automne allait répondre une autre voix s'éleva manqua de la faire sursauter à nouveau, qu'avaient-ils donc à arrivé tous en même temps??
C'était la co-directrice, Abigaël qui venait se présenter à son tour.Automne pensa qu'elle aurait peut-être dû arriver en retard, elle aurait pû comme ça aller se coucher directement ^^.
Elle lança donc aux deux profs un bref:

"B'jour !!!" Peu réjouïe d'avoir un tel accueil.Il aurait été impolie de refuser la visite guidée du lieux et tant qu'à faire autant faire connaissance avec son nouveau foyer immédiatement.

"Hé bien, je vous suis!!De toutes façons, je n'ai que ça à faire!!"

Ajouta-t-elle simplement, mettant ses mains dans ses poches et en commençant d'avancer lentement mais surement ^_^

Natanaël ne put s’empêcher de sourire en sentant que sa collègue rentrait instantanément dans son rôle et prenait un air intransigeant pour impressionner l’élève.
Il savait parfaitement que sa collègue serait juste, et avait toute confiance en elle. Lui préférait établir une relation basée sur la confiance réciproque avec les élèves, plutôt que d’être toujours le bâton à la main, même s’il savait sévir si la nécessité de le faire se présentait.

Il remarqua l’hésitation de l’élève à lui donner sa valise, et lui sourit, en la faisant disparaître d’un claquement de doigts, et lui dit, toujours souriant :

« Ne vous inquiétez pas, elle vous attend dans votre chambre. Et je vous promet qu’elle n’est absolument pas abîmée le moins du monde et que son contenu est parfaitement intact. Vous serez plus à l’aise comme ça, plutôt qu’à traîner votre valise durant toute la visite. » Il désigna sa guitare et ajouta : "mais vous avez eu parfaitement raison de ne pas me la confier, c’est fragile, ces bêtes-là, et avec un sort on ne sait jamais…. »

Voyant la réaction de la jaune fille face à sa proposition de visite, il ajouta, toujours souriant :

« Ma proposition n’a rien d’obligatoire, vous êtes libre d’aller faire ce que bon vous semble, je ne vous en voudrai absolument pas. Et je suis sincère, Mademoiselle Dreaks. »

Tout en parlant, il emboîta le pas à la jeune fille, et après avoir fait une dizaine de mètres dans le couloir, commença à présenter les lieux aux deux charmantes demoiselles qui l'accompagnaient : "Ici, à votre gauhe, se trouve les cuisines et la salle à manger"

Ce disant, il ouvrit la porte imposante située à leur gauche, révélant ainsi une immense salle très haute de plafond où se trouvait une immense table pouvant accueillir environ 500 convives. Cette unique table était divisée en plusieurs parties : une pour les professeurs, et une pour chacune des trois maisons.
Cepenadant, la salle était si grande que les 500 convives qui seraient peut-être assis un jour autour de la table pourraient aisément circuler tous en même temps autour.
Le sol était fait de marbre, alternant le noir et le blanc ; les professeurs disposaient de confortables fauteuils, et les élèves de chaises, elles aussi confortable. la table était en bois précieux, et en son centre trônait un immense chandelier d'or qui illuminait la pièce de ses 750 bougies lorsque la nuit venue les nombreuses et grandes fenêtres ne pouvaient plus assurer cette fonction.

Au milieu du mur gauche de cette immense salle, une porte massive, pour l'instant fermée, menait aux cuisines.

» arrivee de Natsumi aqua